Nous sommes à un tournant. La civilisation humaine a détruit 83% de tous les mammifères sauvages de la planète et plus de 150 millions d’animaux sont tués chaque jour dans le monde pour se nourrir, rien que sur terre. Nous avons oublié l’enseignement de Darwin sur l’évolution. Nous sommes interdépendants avec toutes les formes de vie sur terre. Notre avenir dépend maintenant de notre capacité à arrêter notre guerre contre les animaux. Son objectif : agir ici (avec l’association Globice), en Afrique (avec l’ONG de lutte contre le braconnage Wildlife Angel dont il est vice-président) et dans les Terres Australes (mission en cours de finalisation avec les TAAF) pour des opérations de préservation de la faune sauvage. Face au changement global, Jean Marc a la conviction que l’urgence est désormais de s’adapter et de préserver à tout prix la biodiversité dont nous dépendons. Il a choisi La Réunion : « un territoire insulaire aux avant-postes du réchauffement climatique qui peut devenir un formidable laboratoire de résilience ». We are at a tipping point. Human civilization destroyed 83% of all wild mammals on earth and over 150 million animals are killed for food around the world every day—just on land. We have forgotten Darwin’s teaching about evolution. We are interdepedent with all forms of life on earth. Our future now depends on our ability to stop our war against the animals. « Co-fondateur de Darwin à Bordeaux, Jean-Marc Gancille a conçu et piloté pendant 10 ans la stratégie écologique de ce tiers-lieu français devenu emblématique de la transition. Il entame un nouveau « cycle de vie » à La Réunion. Son objectif : agir ici (avec l’association Globice), en Afrique (avec l’ONG de lutte contre le braconnage Wildlife Angel dont il est vice-président) et dans les Terres Australes (mission en cours de finalisation avec les TAAF) pour des opérations de préservation de la faune sauvage. Face au changement global, Jean Marc a la conviction que l’urgence est désormais de s’adapter et de préserver à tout prix la biodiversité dont nous dépendons. Il a choisi La Réunion : « un territoire insulaire aux avant-postes du réchauffement climatique qui peut devenir un formidable laboratoire de résilience ».
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